Je faisais partie des sceptiques lorsque j'avais découvert le projet de Jean-François Ruchonnet. Bref, je pensais qu'un truc pareil, cela ne marcherait jamais. Et à l'époque, le design ne me transportait pas de bonheur. La foire de Bâle 2009 m'a donc donné l'opportunité de refaire le point.
Et j'ai changé d'avis. Grâce à l'impulsion donnée par l'arrivée d'Eric Coudray, la montre fonctionne de façon fiable et est produite.
Pour l'apprécier, il faut oublier tout repère tant la montre est particulière. Entièrement construite verticalement, sans cadran (l'heure est indiquée par des tambours rotatifs), avec une chaîne fusée de 450 maillons et un tourbillon vertical, la Cabestan surprend au premier coup d'oeil.
Et j'ai changé d'avis. Grâce à l'impulsion donnée par l'arrivée d'Eric Coudray, la montre fonctionne de façon fiable et est produite.
Pour l'apprécier, il faut oublier tout repère tant la montre est particulière. Entièrement construite verticalement, sans cadran (l'heure est indiquée par des tambours rotatifs), avec une chaîne fusée de 450 maillons et un tourbillon vertical, la Cabestan surprend au premier coup d'oeil.



Côté opposé, le fond est évidemment plein puisque tout le mécanisme a été imaginé pour être orienté côté visible de la montre.

Les photos suivantes permettent d'apprécier la finition de haute qualité du calibre ainsi que son architecture unique:







Un grand merci à Jean-François Ruchonnet pour sa disponibilité et ses explications.
