Profitant de ma présence à Genève pour le SIHH 2008, je me suis rendu à la présentation Urwerk qui avait lieu au Four Seasons.
J'étais très impatient car Urwerk présentait son nouveau modèle, la 202, la première montre automatique de la marque.
Impeccablement accueilli par la toujours ravissante Yacine Sar, c'est Dominique Buser qui a travaillé avec Felix Baumgartner sur le développement technique de la montre qui m'a présenté la 202.

- première Urwerk automatique : le calibre qui sert de base est le GP3100 utilisé également par Max Busser (HM02) et par Genta.
- affichage des phases de lune (nouveauté) et du jour/nuit (déjà présent sur la 201)
- et puis le système des turbines qui régulent la vitesse de la masse oscillante et donc l'efficacité du remontage.
Les phases de lune permettent de distinguer la 202 de la 201 au premier coup d'oeil :




Imaginez que vous roulez sur autoroute. Si vous roulez fenêtres fermées, la voiture avancera mieux que les fenêtres grandes ouvertes. C'est le principe de ces turbines.


Les traditionnels wrist-shots: j'adore cette montre! Le plus fascinant reste la course des aiguilles qui restent en permanence collées à la graduation (la pointe des aiguilles se rétracte ou se rallonge selon sa position face à la graduation). Techniquement, c'est impressionnant.


Voici la jeune équipe Urwerk : disponible, accueillante, passionnée et surtout très talentueuse!
De gauche à droite : Felix Baumgartner, Martin Frei, Dominique Buser et Yacine Sar.

Pour en savoir plus:
Le site d'Urwerk